Samedi 25, à 7h nous quittons POPA direction Bagan mais 42km plus loin...n'ayant pas vu la bifurcation le doute s'installe ! Après renseignements, Bagan est derrière nous, il faut retourner jusqu'à POPA pour retrouver la route, la petite route de la carte n'est qu'une piste sablonneuse.Par chance de suite un taxi se propose de nous emmener jusqu'à POPA.
A 13 h , nous revoici revenu au point de départ et après avoir avalé un grand bol de nouilles- poulet ,nous repartons sur bonne route.Journée de 97 km avec pizza et bière locale dès l'arrivée.
A 13 h , nous revoici revenu au point de départ et après avoir avalé un grand bol de nouilles- poulet ,nous repartons sur bonne route.Journée de 97 km avec pizza et bière locale dès l'arrivée.
SAPADA Pagoda (cloche de forme cingalaise du 12 ième siècle ) |
Le lendemain, découverte du vieux village de Bagan avec les petits artisans locaux comme la fabrique de cigares, de bonbons et surtout la laque de Bagan .
Les filtres des cigares sont un enroulement de feuilles de maïs séchées. |
Fumer le cigare est certainement le vice birman le plus répandu. |
Emballage de petits bonbons fabriqués avec le jus du palmier à sucre appelé Toddy. |
Visite dans un atelier de fabrication d’objets en
laque.
La plupart des objets sont faits de fines bandes de bambou superposées, d’autres en teck et aussi en crin de cheval.
La structure est enduite de sève noire obtenue dans
l’arbre "Melanhorrea" poussant surtout dans l’Etat shan.
Plusieurs couches parfois jusqu’à 2O sont nécessaires
avec toujours un temps de séchage en cave de 5 à 1O jours.
A l’aide d’un stylet on grave les motifs.
Arrêt à la Pagode Shwesandaw que l’on voit de loin avec son
imposant stûpa recouvert de feuilles d’or a été commencée en 1O59 et achevée en
1O9O.
De Nyaung O, nous suivons la belle route des pagodes
perdues avec ses étendues de terre rouge parsemées d’environ 2OOO temples et
pagodes et pagodons.
Depuis le début de notre voyage,nous constatons que la religion est omniprésente dans la vie quotidienne des Birmans (90% de bouddhistes) qui consacrent entre 1O et 3O % de leurs faibles revenus pour l'entretien des pagodes et des moines.
Retour au coucher du soleil pour admirer les superbes couleurs ocres.
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