Vendredi 21 Mars,nous continuons de longer la mer et d'admirer les belles et immenses plages.Le ciel est gris, du vent pas très chaud ,on se contente de marcher sur le sable , de respirer l'air iodé,d'admirer le charme de ses anciens villages de pêcheurs aux maisons colorées.
Punta Del Diablo
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| Au bout de 7O km, sous un crachin ''Breton'' nous stoppons pour 2 nuits à Agua Dulces |
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| Samedi balade autour d'Agua Dulces, paisible localité entourée de lagunes d'eau potable. |
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| La mer ronge le littoral. |
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| Le sable avance envahissant les maisons côtières. |
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| Maison sur pilotis du XIX ieme siècle. |
Dimanche 23, toujours du vent frais venant du S.E.
En cours de route ,nous traversons le petit village de la Perdrera qui a conservé une certaine authenticité ,nous achetons de quoi pique-niquer et là nous rencontrons un couple de cyclos Brésiliens.
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| A marée basse ...on promène Jéricho sur la plage. |
Ce jour 78 km pour arriver à la Paloma,nous tournons en rond pour trouver un hôtel, comme partout les stations balnéaires ne vivent qu'entre décembre et début mars.
La Paloma -La Barra ...quelle journée ! 117 km, 38 km de plus que prévu à cause du trop plein de la lagune de Rochas mais surtout ne pas trouver en cours de route une chambre d'hôtel, nous traversons des stations balnéaires pour une clientèle fortunée ( repaire de la Jet-set)j’ose demander le tarif d'une chambre standard 3OO $ !!! Après renseignements pris, il nous faut aller 25 km plus loin,le vent nous pousse , la route suit la côte sans trop de bosses mais en arrivant à la Barra c'est mort ...tout est fermé, on désespère, la nuit arrive on nous déconseille de planter la tente en nous indiquant le club de vacances Pino Dorado avec locations d'appartements.
Après visite et discussion, la manager nous accorde l'appart pour le prix d'une chambre d'hôtel ! Gracias sénora !
Après une nuit réparatrice et un bon petit-déj, nous découvrons un lieu de vacances ou nous aurions aimé rester quelques jours.
En route pour Punta Del Este ou Punta la radieuse, l'excentrique, la superficielle !
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